Culture  

Santé et sport : L’UJYOP se rapproche les communautés à travers un fitness

Le stade du terminus 47 dans la commune de Yopougon a abrité la première édition du fitness de l’Union des Journalistes Professionnels et Professionnels de la Communication résidant à Yopougon (UJYOP).

Placée sous le thème « Le sport, facteur de rapprochement et de cohésion sociale« , cette séance de fitness, dénommée « Fitness de l’indépendance« , a vu la participation, non seulement des professionnels des médias, mais également de la police municipale, des membres du club fitness de Cosmos et de bien d’autres fans de sport.

Cet événement avait pour parrain, le directeur général de radio amitié, Bakayoko Moussa qui a su motiver tous les participants en « mouillant le maillot« .

Se connaître mutuellement

Ce sont près d’une centaine de férus de la danse et du sport qui se sont retrouvés à cette séance de mise en forme physique. Présidente de l’organisation, Maryse Konan s’est réjouie d’un tel engouement qui a su sceller le rapprochement.

<< Nous sommes dans la commune, et nous devons aller au contact des autres. On était avec la police municipale, le club fitness de Cosmos, et d’autres personnes du quartier. Demain on sera dans un autre quartier. Il faut qu’à Yopougon on arrive à nous parler, il faut qu’on arrive à se connaître >>, a-t-elle indiqué.

Jouant un rôle crucial dans la société, par le biais des écrits et productions qui informent et éduquent les populations, Marlyse Konan a souhaité que ces professionnels des médias soient l’exemple dans cette quête de cohésion sociale. Une cohésion sociale qui passe par ce genre d’activités menant même à des partenariats.

<< Nous sommes journalistes, mais en dehors du journalisme, on a des activités, il y a des compétences. Le temps de nous retrouver, de nous voir, de nous parler, cela nous permet également de pouvoir offrir des opportunités aux uns et aux autres. C’est ce que nous voulons développer à Yopougon et amener la population à se parler. Cela contribue aussi à la cohésion sociale. Il faut que nous, journalistes, on contribue à la cohésion sociale >>, a-t-elle déclaré.

Pour sa part, le deuxième vice-président de l’union, Sylvain Debailly a promis que << c’est ce genres d’actes que nous allons multiplier pour non seulement nous retrouver et marcher ensemble >>.

Ali B.

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